Face cachée de la sorcière qui sommeil en moi. Du plus sérieux remède à la pire des élucubration des temps anciens et plus récents.
Le cancer (aussi appelé tumeur maligne) est l'une des principales maladies du XXè siècle. Des cellules anormales cancereuses se développent. Le système immunitaire qui ne reconnaît plus les cellules saines de celles qui sont malsaines, ne réagit pas face à leur présence et elles prolifèrent donc rapidement dans le corps.
Les êtres humains ont souvent des cellules précancéreuses dans l'organise, mais le système immuniatire, c'est à dire le système de défense naturel de notre corps, les prend en charge avant qu'elles ne deviennent cancéreuses. C'est parce que ces cellules anormales se développent de façon incontrôlée et incessante qu'elles peuvent nuire au fonctionnement d'un organe ou d'un tissu, pouvant ainsi affecter des parties vitales de l'organisme. Lorsque ces cellules envahissent diverses parties du corps, on parle de cancer généralisé. Le cancer est lié principalement à des émotions refoulées, du ressentiment profond qui datent parfois de longtemps, par rapport à quelque chose ou une situation qui me perturbe encore aujourd'hui et face à laquelle je n'ai jamais osé exprimer mes sentiments profonds. Ils sont souvent en relation avec un ou des aspects de ma vie de couple. Même si le cancer peut se déclarer rapidement à la suite d'un divorce difficile, d'une perte d'emploi, de la perte d'un être cher, etc., il est habituellement le résultat de plusieurs années de conflit intérieur, de culpabilité, de blessures, de chagrin inconsolable, de rancunes, de rejet de moi, je me sens un peu cancre. Je rumine sans cesse le même sentiment d'échec. Ce qui se passe à l'extérieur de moi n'est que le reflet de ce qui se passe à l'intérieur, l'être humain étant représenté par la cellule, et le milieu de vie ou la société par les tissus. Dans la plupart des cas, si je suis atteint de cancer, je suis une personne aimante, dévouée, pleine d'attention et de bonté pour mon entourage, extrêmement sensible, semant amour et bonheur autour de moi. Pendant tout ce temps, mes émotions personnelles sont refoulées au plus profond de moi. Je me conforte et me leurre en trouvant stasifaction à l'éxtérieur plutôt qu'à l'intérieur de moi-même puisque j'ai une très faible estime de moi. Alors que je m'occupe de tout le monde, je mets de côté mes besoins personnels. Je me sens impuissant à changer ma vie. Cette impuissance vient du fait que j'ai l'impression que je n'ai pas de pouvoir sur ma vie. Je remets ce dernier à une autorité plus grande que moi et qui m'est extérieure. Je ne suis pas en contact avec mon corps et mes émotions. Je suis perdu, car je ne me définis qu'à travers les autres. Je n'ai aucune identité. Je suis étranger à moi-même. Je laisse ma place aux autres ; je laisse donc aller mes cellules saines qui représentent mon identité et elles sont remplacées par des cellules étrangères qui n'ont pas leur place à l'intérieur de mon corps. Mais comme le bien-être de tous ceux qui m'entourent prime sur le mien, je décide que je ne vaux rien et que je peux laisser les autres m'envahir. J'hésite à prendre ma vie en mains, m'y pensant incapble. Puisque la vie ne semble plus rien m'apporter, je capitule et je manque d'envie de vivre. A quoi bon lutter? Si je vis beaucoup d'émotions fortes, de haine, de culpabilité, de rejet, je vais être en très forte réaction, tout comme la cellule. Mes cellules saines se retournent contre moi et mes cellules malsaines prennent le dessus, je vais même me sentir responsable des problèmes et des souffrances des autres et je voudrais m'autodétruire. Les cellules cancéreuses vivent dans l'isolement, tout comme moi qui vais me replier sur moi-même face à une situation que j'ai difficile à accepter dans mon : j'en parlerai peu, je refoule mes émotions qui m'empoisonnent. "J'en veux à la vie", "elle est trop injuste". Je joue à la "Victime" de la Vie et je devient bientôt "victime" du cancer. C'est habituellement la "haine" envers quelqu'un ou une situation qui va me "ronger l'intérieur" et qui va amener les cellules à s'autodétruire. Cette haine est prodondément enfouie à l'intérieur de mon être et je n'ai pas souvent conscioence qu'elle existe. Elle est enfouie derrière mon masque de "bonne personne". Mon corps se désagrège lentement car mon âme se désagrège aussi : j'ai besoin de combler mes désirs non staisfaits au lieu de ne faire plaisir qu'aux autres. Je dois m'offrir des joies, des "petites douceurs". J'ai accumulé ressentiments, conflits intérieurs, culpabilité, auto rejet par rapport à moi-même parce que j'ai toujours agi en fonction des autres et non pas en fonction de ce que je veux. La patience exemplaire et présente chez moi s'accompagne très souvent d'une faible estime de moi. J'évite de me donner de l'amour et de l'estime, car je crois que je ne le mérite pas. Ma volonté de vivre devient presque nulle. Je me sens inutile. "A quoi bon vivre?" C'est ma façon d'en finir avec la vie. Je m'autodétruis et c'est là un suicide déguisé. J'ai l'impression d'avoir "raté" ma vie que je vois comme un échec. La mort peut me sembler, même inconsciemment, plus belle que la vie que je mène. J'ai besoin de faire tomber mon masque. Cela peut être angoissant pour un moment mais cela est essentiel afin de reprendre la maîtrise de ma vie. Je vais découvrir que j'ai tout le courage et toute la force nécessaires pour accomplir tous mes rêves. La partie du corps atteint m'éclaire quant à la nature de mon (mes) problèmes(s) : cela m'indique quels shémas mentaux ou quelles attitudes je dois adopter afin d'amener la maladie à disparaître. Je dois reprendre contact avec mon "moi" intérieur et m'accepter dans mon tel que je suis avec mes qualités, mes défauts, mes forces et mes failesses. J'accepte dans mon de laisser tomber de vieilles attitudes et habitudes morales. L'acceptation dans mon
de la maladie est essentielle pour que je puisse ensuite "lutter". Si je refuse d'accepter dans mon la maladie, comment puis-je la guérir?
J'accepte dans mon de reprendre contact avec cette partie de moi dont je m'étais coupé afin de reprendre contact aussi avec la vie. J'ouvre mon et je prends conscience de tout ce que la vie peut m'apporter et à quel point j'en fais partie. Même si le cancer semble à priori avoir le rôle du méchant, de l'adversaire, je me rends compte qu'il est un catalyseur afin que j'apporte des changements importants dans ma vie. Le fait de recevoir un traitement en guérison naturelle, en massage ou toute autre technique avec laquelle je me sens à l'aise, aura pour effet une harmonisation qui me permettra d'ouvre ma conscience à toutes les merveilles de la vie et à la beauté qui m'entourent et qui renforcera ainsi mon système immuniataire. J'accepte dans mon d'apprivoiser les différentes émotions qui m'habitent. Je reprends la maîtrise de ma vie. Il n'y a que moi qui sache ce qui est bon pour moi ! Il n'y a que moi qui puisse décider de guérir ... J'accepte dans mon de vivre dans le moment présent, en acceptant tout mon passé comme une période d'apprentissage afin de me découvrir, de savoir qui je suis vraiment. En laissant couler la vie en moi, mes cellules seront bien nourries et remplaceront celles dont je n'ai plus besoin.