Tu désires t'étendre, t'épanouir et sortir ainsi d'une situation psychique où tu te sens sanglé(e) ; impatience, irritation ... parce que tu n'es pas toi-même ou ne peux pas l'être. Tu veux dire quelque chose, exprimer tes sentiments et ton opinion personnelle, mais tu es freiné(e), retenu(e), et tu te tais. C'est aussi par peur de ne pas être accepté(e) ou aimé(e) que tu t'exprimes insuffisamment.Tu te sens coincé(e), garrotté(e); souvent tu te forces, afin d'échapper à quelque chose qui t'accable.

Intérieurement, tu diriges, la tête lourde, ton irration ou tes reproches contre ceux qui prétendument t'empêchent d'être qui tu es ; pourtant c'est toi qui ne vis "qu'au ralenti", c'est toi qui te sens petit(e), angoissé(e) ou triste.

Laisses-tu influencer exagérément ta vie par une autorité extérieure à toi (parents, conjoint(e),...) ? Intérieurement cela t'agace, mais tu refoules ta colère. Comme tu ne te fies pas à ta propre base, tu vois tout en framgents, effilé en détails, tu n'obtiens pas de vue d'ensemble. Ainsi tu te sens parfois angoissé(e), parce que tu n'arrives pas à avoir prise sur toi-même et parce que tu es trop dépendant(e).

Sois fidèle à ta nautre, ose être toi-même; exprime toi !

Personne ne peut vivre ou parler à ta place. Aie confiance en toi et sois conscient(e) que tu es un être unique. Le petit oiseau devra cracher quelque chose avant qu'il puisse chanter à sa propre manière : il devra rejeter son manque de confiance dans ce qu'il sent lui-même. Exprime-toi et dis ce que tu sens ; ainsi tu es fidèle à toi-même, et le dialogue entre deux personnes leur permet à toutes les deux d'évoluer et de se développer. Bâtis ta vie sur ta propre autorité.

Quand le temps est venu, dis joyeusement adieu à tes anciens "maîtres" et à des systèmes ou avant tu te sentais à l'aise. Cherche la bonne voie pour toi, à l'aide de ton intuition et de ta sagesse intérieure.

Sens comme les énergies en toi sont prêtes à te faire épanouir ; libère toi.

 « La Clef vers l’Autolibération » de Christiane Beerlandt. 978-90-75849-04-2

Angoisse ; surtension intérieure. Tu as l'impression que tu n'existes presque PAS. "Je ne peux pas exister, je ne peux pas vivre." Angoisse indéfinie de la vie ; tu as peur que quelque chose de menaçant ne te transperce le coeur, que quelque chose de colossal le t'écrase ; le sentiment que quelque chose ou quelqu'un se rend Maître de toi. Tu as peur de ta propre force motrice, de ton propre JE, de ton centre Solaire. Comme tu as peur de ton propre moi et de tes forces profondes, tu veux fuir et prendre un chemin seconcaire dans ta vie.

Tu peux te cacher comme une autruche : dans des structures, dans des lois, sous l'Autorité d'une personne ou d'un système ; ainsi tu te sens protégé(e) et tu n'es pas obligé(e) de pénétrer jusqu'au centre de ton propre être, car tu en as peur. De cette façon tu t'étouffes toi-même et tu n'admets pas la lumière solaire dans ta vie.

Les enfants cherchent souvent leur salut ou un point d'appui auprès d'une Autorité paternelle ou maternelle qui remplace leur propre JE : cela a un effet étouffant, surtout lorsque, de surcroît, les parents sont anxieux eux-mêmes et que cela peut éventuellement augmenter le sentiment d'insécurité chez l'enfant. Il arrive parfois que les parents maternent exagérément leur enfant ou exercent une Autorité étouffante sur lui, puisqu'ils ne réussissent pas à vivre vraiment à partir de leur propre Base sûre et à transformer leurs énergies en épanouissement personnel. Pourtant, il faut toujours chercher la cause de la maladie dans la psyché de l'enfant / de la personne même. L'enfant est trop angoissé pour oser occuper son propre espace et ceux qui l'élèvent ne l'encouragent pas toujours à le faire, puisqu'ils ont le même problème : ils n'osent pas se manifester pleinement comme des êtres autonomes, sans angoisse.

Tu as l'impression d'être "traîné(e)" dans la vie, mais tu te demandes : "Pourquoi ? D'où viens-je ? La vie c'est quoi ?" Angoisses de la mort, doute ; les bébés asthmatiques naissent dans un milieu qu'ils ont attiré inconscienmment, et où ils sont confrontés aux doutes anxieux de leur entourage, qui leur offre le reflet de leurs propres angoisses.

Tu te sens impuissant(e) à vivre et tu te retires ; tu es en fuite devant toi. Tu vis dans un mélange de vérité, de réalité d'une part et de rêve, d'illusion, de cauchemar, de fantasmes irréels d'autre part ; par angoisse ton imagination s'emballe. Tu tâches encore de tenir en équilibre tes émotions, mais tout t'échappe. Tu te sens nerveux(-se) et enchainé(e), et par conséquent ta spontanéité naturelle est freinée. Tu te sens victime en défense, plutôt que de reconnapitre l'Autorité et la Souveraineté en toi. Au lieu de prendre les rênes, tu as le désir inconscient d'être sauvée(e) par un cheval ailé. Tu es toujours sur tes gardes, tu te tiens sur la défensive ; tu voudrais détruire le danger inconnu qui va t'assaillir, mais tu ne vois pas clairement où il se trouve.

Jusqu'ici et pas plus loin ! Tu délimites anxieusement tes frontières par rapport à ton Moi profond, par rapport à tes forces et émotions profondes , et aussi par rapport aux autres, de peur de te perdre encore davantage dans le froid néant. Tu te contrôles anxieusement, tu t'adaptes aux autres aux dépens de ta propre nature, tu es enclin(e) à faire toujours ce qu'on te commande, comme un esclave dans une camisole de force ; cela engendre de la colère impuissante et de la révolte. Impuissance : parce que tu ne te trouves pas, parce que tu te méfies de toi, parce que tu n'oses pas occuper pleinement ton espace vital.

Arrête-toi sur toi-même, cesse de t'enfuir ! La vie est sûre si tu la prends en tes propres mains, si tu découvres que tu t'attires des conditions et des événements par suite de tes propres convictions profondes ; ta Conscience créative est maîtresse de ta vie. Fie-toi à cette Base impérissable en toi : tu n'es pas condamné(e) à rester asthamtique toute ta vie ou à rester dépendant(e) de médicaments. Donne-toi tout l'espace et laise se manifester librement tes énergies. Si tu décides que "tu es maître de ton existence", tu créeras un avenir joyeux et vivant. L'asthme indique que tu nies ton essence immortelle, la source créatrice en toi. Tu n'es pas dépendant(e) des autres : tu t'étouffes toi-même avec "des pensées et des ruminations", parce que tu méconnais ta divinité. L'angoisse signale que tu n'es pas dans la bonne voie, que tu dois opérer des changements. Alors, viens près de toi avec amour, délivre-toi de tes chaînes, fais confiance à ton Moi vivant. L'angoisse et l'incroyance sont les obstacles à ton bonheur. Arrive à la pure Estime de Toi : lâche prise et aime-toi infiniment. Aie confiance, Crois, dans ta Force fondamentale ! L'être éternel que tu es ne mourra jamais : donne-toi toutes les chances d'une existence terrestre ouverte et libérée. Rends-toi Maître(sse) de ta vie !

Les parents des enfants asthmatiques peuvent vérifier, au fond d'eux-mêmes, si eux aussi doivent travailler à résoudre les causes psychiques décrites ci-dessus.

 « La Clef vers l’Autolibération » de Christiane Beerlandt. 978-90-75849-04-2

Le prince préfère rester grenouille : tu dévies de ton vrai chemin, de l'essence de ton être. Comme échappatoire, pour ne pas devoir vivre vraiment, à partir de ta nature authentique, tu as mis sur pied (inconsciemment peut -être) toutes sortes d'échafaudages ou de structures qui maintenant déterminent ou limitent ton existence. Finalement tu t'empêtres dans les manoeuvres de diversion que tu as suscitées toi-même : où es-tu? Tu trouves que ton JE authentique n'est pas assez précieux pour être tel(le) que tu es, pour vivre spontanément selon les désirs de ta nature. Tu te causes de la douleur à toi-même, par Angoisse. Une énergie énorme est confinée dans une structure forcée ou artificielle : n'est-il pas inévitable que cela demande la libération ? Tu t'abaisses, tu te tires vers le bas par les cheveux, tu méconnais les valeurs profondes en toi, tes énergies créatives spontanées, tes sentiments, tes impulsions très personnelles à l'action, tes désirs, ... tout cela est écarté, laissé de côté ; TU BÂTIS TA VIE SUR UN "CHEMIN SECONDAIRE", et non pas sur le chemin qui va droit au véritable but de ton être. Des valeurs accessoires, telles que l'image ou l'argent, peuvent devenir numéro un ... jusqu'au moment où ton Moi profond, ton centre solaire surgit et réclame la première place : son rayonnement t'éveille, avec une douleur irradiante, pour que tu l'écoutes. Est-ce que dans ta vie l'image extérieure, l'ambition, les performances, le fait de satisfaire aux attentes de la société ou de ton cercle de connaissances, les valeurs matérielistes, ... sont d'une importance primordiale ? Emprisonnes-tu ta nature en ne te fiant pas à ton Autorité intérieure ? Te brides-tu, écoutes-tu l'Autorité du monde Extérieur, obéis-tu à des normes et des lois qui doivent décider de ta vie ? N'oses-tu pas déterminer sincèrement, directement et résolument ta voie personnelle, à partir de ton Centre intérieur ? Tu continues tout le temps de fonctionner dans un monde ... qui n'est pas dans le prolongement de ta vraie nature. Veux-tu faire tes preuves ? Alors tu ne te rends pas compte de tes valeurs personnelles, tu les mets en doute, tu cherches tout hors de toi. L'angoisse fait que tu diriges ta conscience vers des choses qui puissent t'offrir quelque sûreté, car tu ne la trouves pas en toi ! Ainsi le prince reste grenouille, parce qu'il méconnaît sa valeur d'or ! Pourtant tu sens qu'il y a en toi une dualité : vraiment vivre à partir de toi-même ou te cacher dans une mascarade ? Cela ressemble à la tartufferie, partout il s'agit plutôt de ta préoccupation anxieuse de "t'assurer ta sécurité".

Pourvois à une belle structure balancée, en parfait équilibre, construite en toute sincérité autour d'un centre vigoureux : ta vie ne peut être "coulante" et en équilibre sain que si tu oses te fier à ta Base, à ton Moi Vivant éternel. Une structure souple, qui ne te limite pas mais qui laisse de l'espace à un courant libre d'énergie, est nécessaire : vis tes talents, tes possibilites, tes désirs naturels ... Sois tout à fait sincère avec toi et avec les autres, ôte ton masque protecteur et ose te montrer tel(le)à que tu es. Cesse de jouer un Rôle, de prendre des chemins détournés, de te causer de la douleur, ne te cramponne pas à un point d'appui hors de toi, mais cherche la source divine au fond de toi ; remplace le clinquant par la sagesse intérieure et donne aux énergies intuitives élevées la possibilité d'exister librement à côté de l'esprit purement rationnel, donne une place d'honneur à tes forces de conscience et cesse d'adorer quelque veau d'or. Vis ta Nature totale, cesse de te cacher derrière un "écran". La vie est pleine de lumière et de joie, pourquoi la rends-tu si pesante pour toi ? Ne fuis plus la vérité essentielle au fond de toi, quitte le chemin secondaire, en toute sécurité ; joue de toutes tes cordes et choisis le CHEMIN PRINCIPAL.

 « La Clef vers l’Autolibération » de Christiane Beerlandt. 978-90-75849-04-2

Quelque chose te submerge, t'envahit ; c'est trop pour le digérer en une foi. Tu ne parviens pas à saisir quelque chose ou à avoir prise sur cela immédiatement.
Tu chancelles en quelque sorte, tu éprouves une certaine instabilité en toi : tu crains inconsciemment de ne pas pouvoir rester entièrement maître(sse) de toi et cela engendre de l'anxiété et de la nervosité (inconscientes). D'un point de vue positif, il peut s'agir d'une multitude d'impressions et d'informations qui te sont même agréables, mais qui te troublent parce qu'elles apportent de nouvelles données que tu ne peux pas assimiler, digérer ou intgrer aussitôt dans ton être. Dans certains cas tu te sens débousslé(e), sous l'emprise de quelque chose que les autres t'ont dit. Si tu es trop faible sur ta base, tu seras sujet(te) au doute, "au sursaut de surprise ou de peur", à l'angoisse. Peut-être te sens-tu sous l'empire de quelqu'un qui te paraît plus "puissant" que toi. Ou bien tu cours trop vite et tu t'oublies ...

Eprouve le point central solide en ton Moi vivant. Trouve-toi, recueille-toi. Considère tes éventuelles angoisses inconscientes. Va à la rencontre de la vie avec tranquilité intérieure et avec assurance. Ne trébuche pas sur ton propre enthousiasme, retrouve-toi tranquillement. Tu as tout le temps ! Les belles choses et la vie ne s'enfuiront pas ! Aie confiance ; Reeste près de toi ici et maintenat, n'anticipe pas ...

 « La Clef vers l’Autolibération » de Christiane Beerlandt. 978-90-75849-04-2

Crois-tu encore au système de la "contagion fortuite" par un autre ...? Sache alors que, si ta "fréquence" n'est pas en phase avec celle du virus de la grippe (voir la suite de ce texte), tu ne pourras pas être contaminé(e) par lui.
Inconsciemment tu fais appel à une pause pour te reposer, car la vie stressante et agitée exige beaucoup de toi. C'en est trop pour toi, tu en as plein le dos aussi de l'agitation autour de toi, tu aimerais être seul(e) et tranquille pendant quelques temps ... en ayant la grippe, cela t'est permis, tu jettes l'ancre.

 Le monde extérieur te paraît menaçant, tu désires te retirer dans une coquille sûre. Tu te sens esclave d'un quelconque système, p.ex. dans la société où tu vis; tes sentiments personnels ne peuvent pas entrer en ligne de compte ... tension, frustration, chagrin ...; l'apparaition d'une grippe empêche que des maladies plus graves se produisent (laisse se déclarer tranquillement un rhume, une fièvre ou une grippe, ne les réprimes pas).
La grippe est donc une "pince preneuse" qui offre aussi de la protection. C'est ce que tu recherches et préfères en ce moment : un abri sûr, la tranquilité.
Des énergies accumulées (émotions, pensées, créativité) cherchent une issue ...
La grippe signale souvent que tu es incertain(e) et peureux(-se) "Est-ce que je fais comme il faut?", peut-être as-tu peur de porter la responsabilité totale en ce qui concerne une certaine tâche ; tu as peur d'un doigt punisseur, peur d'échouer; peut-être s'agit-il d'une surcharge, tu joues des coudes avec acharnement, mais tu crains de ne pas y arriver ... tu te sens ESCLAVE.
Sentiments d'insécurité, d'angoisse, d'être coincé(e), absence de confiance en ta prtopre Base : Cela démolit l'immunité.
Te laisses-tu trop influencer par ton entourage : refuses-tu de vivre de façon autonome, "à partir de toi-même" ?

Vis par toi-même, ne vis pas comme un animal dressé au cirque. Délimite clairement ton territoire, détermine tes limites, avec assurance !
Sens tes forces intérieures, ton système immunitaire, l'enjouement et la chaleur dans ta nature authentique. Sens-toi le (la) bienvenue(e) parmi les gens, ose jouir des bonnes choses de la vie; sens-toi en sécurité en ton Moi vivant et ne te presse pour rien ni pour personne ! La contagion ne se produit que si tu la cherches inconsciemment (afin d'opérer des changements en toi) : tu es immunisé(e) par nature.
Ne te laisse pas influencer par la négativité autour de toi : Sois fidèle à toi-même.

 « La Clef vers l’Autolibération » de Christiane Beerlandt. 978-90-75849-04-2