• L'art de comprendre ses maux.

     

     

    Les articles de cette rubrique sont des passages des livres : 

    " La clef vers l'Autolibération"
    de Christiane Beerlandt (Cl)


    L'art de vivre en santé.

    et

    "Le grand dictionnaire des malaises et des maladies"

    de Jacques Martel. (Dc)

    L'art de comprendre ses maux.

    Amygdales. (Cl)

    Anémie. (Cl)

    Asthme. (Cl)

    Aphtes. (Cl)

    Bouton de fièvre. (Cl)

    Bronchite. (Cl)

    Cancer (Dc)

    Colère. (Dc)

    Embolie pulmonaire. (Cl)

    Etourdissements (Dc)

    Gastro-entérite. (Dc)

    Gorge. (Cl)

    Grippe. (Cl)

    Hémorroïdes. (Dc)

    Herpès labial. (Cl)

    Ongle incarné. (Cl)

    Organes génitaux féminins.(Cl)

    Psoriasis.(Cl)

    Renvois exagérés.(Cl)

    Sciatique.(Cl)

    Verrues Plantaires. (Dc)

    Vertige (Dc)


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    Gastro-Entérite.

     

    La gastro-entérite est une inflammation aiguë des muqueuses gastriques (estomac) et intestinales (intestin) caractérisée par des vomissements et une diarrhée d'origine infectieuse. Il se peut qu'on puisse déterminer la "cause extérieure" et qu'on la relie à de l'ingestion d'eau ou d'aliments contaminés. 

    Cependant, il faut aller voir la "cause intérieure" qui m'a fait vivre cet événement. Ici, l'irritant est beaucoup plus important que dans un cas de gastrite, car cela affecte non seulement le point où entrent les aliments, mais aussi le point de départ du processus d'intégration, ce qui indique que je suis si irrité et si frustré par ce qui m'arrive que je ne peux absorber quoi que ce soit. Je veux donc rejeter une situation ou une personne, si ce n'est pas la vie elle-même, et je suis "rouge de colère", ce qui m'amène à vivre la diarrhée et le vomissement. J'ai de la difficulté à accepter dans mon coeur les événements et le fait de mourir un jour. Je peux retenir certains schémas de pensées maintenant inutiles. Une personne ou une situation m'est indigeste et se retourne contre moi en m'enflammant émotionnellement. Je suis hanté par certaines pensées qui me rongent de l'intérieur. Je vis de constantes incertitudes. Le désespoir me gagne et ma sensibilité est grandement perturbée. J'ai peur de moi-même, de ce qui m'habite. Je me perçois comme mauvais et j'ai peur d'avoir beaucoup d'ennemis. Je vis une grande incertitude et je préfère me fondre dans la masse au lieu de me lever, quitte à faire quelques vagues autour de moi. Je ne me permets pas de vivre ma vie comme je le désire. Il se peut que ce soit l'autorité que j'ai du mal à digérer, car j'ai tendance à vivre selon les lois établies avec, selon mes anciennes croyances, aucune possibilité pour moi d'y déroger.

    J'accepte dans mon coeur de m'ouvrir à une nouvelle réalité, à de nouvelles idées et à réapprendre à faire confiance aux autres et en la vie, en étant capable de manifester mon désappointement au lieu de le laisser gronder à l'intérieur et de me créer des maux de toutes sortes. J'arrête d'attendre l'approbation de mon entourage. 


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    Cancer (en général)

     

     

    Le cancer (aussi appelé tumeur maligne) est l'une des principales maladies du XXè siècle. Des cellules anormales cancereuses se développent. Le système immunitaire qui ne reconnaît plus les cellules saines de celles qui sont malsaines, ne réagit pas face à leur présence et elles prolifèrent donc rapidement dans le corps. 

    Les êtres humains ont souvent des cellules précancéreuses dans l'organise, mais le système immuniatire, c'est à dire le système de défense  naturel de notre corps, les prend en charge avant qu'elles ne deviennent cancéreuses. C'est parce que ces cellules anormales se développent de façon incontrôlée et incessante qu'elles peuvent nuire au fonctionnement d'un organe ou d'un tissu, pouvant ainsi affecter des parties vitales de l'organisme. Lorsque ces cellules envahissent diverses parties du corps, on parle de cancer généralisé. Le cancer est lié principalement à des émotions refoulées, du ressentiment profond qui datent parfois de longtemps, par rapport à quelque chose ou une situation qui me perturbe encore aujourd'hui et face à laquelle je n'ai jamais osé exprimer mes sentiments profonds. Ils sont souvent en relation avec un ou des aspects de ma vie de couple. Même si le cancer peut se déclarer rapidement à la suite d'un divorce difficile, d'une perte d'emploi, de la perte d'un être cher, etc., il est habituellement le résultat de plusieurs années de conflit intérieur, de culpabilité, de blessures, de chagrin inconsolable, de rancunes, de rejet de moi, je me sens un peu cancre. Je rumine sans cesse le même sentiment d'échec. Ce qui se passe à l'extérieur de moi n'est que le reflet de ce qui se passe à l'intérieur, l'être humain étant représenté par la cellule, et le milieu de vie ou la société par les tissus. Dans la plupart des cas, si je suis atteint de cancer, je suis une personne aimante, dévouée, pleine d'attention et de bonté pour mon entourage, extrêmement sensible, semant amour et bonheur autour de moi. Pendant tout ce temps, mes émotions personnelles sont refoulées au plus profond de moi. Je me conforte et me leurre en trouvant stasifaction à l'éxtérieur plutôt qu'à l'intérieur de moi-même puisque j'ai une très faible estime de moi. Alors que je m'occupe de tout le monde, je mets de côté mes besoins personnels. Je me sens impuissant à changer ma vie. Cette impuissance vient du fait que j'ai l'impression que je n'ai pas de pouvoir sur ma vie. Je remets ce dernier à une autorité plus grande que moi et qui m'est extérieure. Je ne suis pas en contact avec mon corps et mes émotions. Je suis perdu, car je ne me définis qu'à travers les autres. Je n'ai aucune identité. Je suis étranger à moi-même. Je laisse ma place aux autres ; je laisse donc aller mes cellules saines qui représentent mon identité et elles sont remplacées par des cellules étrangères qui n'ont pas leur place à l'intérieur de mon corps. Mais comme le bien-être de tous ceux qui m'entourent prime sur le mien, je décide que je ne vaux rien et que je peux laisser les autres m'envahir. J'hésite à prendre ma vie en mains, m'y pensant incapble. Puisque la vie ne semble plus rien m'apporter, je capitule et je manque d'envie de vivre. A quoi bon lutter? Si je vis beaucoup d'émotions fortes, de haine, de culpabilité, de rejet, je vais être en très forte réaction, tout comme la cellule. Mes cellules saines se retournent contre moi et mes cellules malsaines prennent le dessus, je vais même me sentir responsable des problèmes et des souffrances des autres et je voudrais m'autodétruire. Les cellules cancéreuses vivent dans l'isolement, tout comme moi qui vais me replier sur moi-même face à une situation que j'ai difficile à accepter dans mon  : j'en parlerai peu, je refoule mes émotions qui m'empoisonnent. "J'en veux à la vie", "elle est trop injuste". Je joue à la "Victime" de la Vie et je devient bientôt "victime" du cancer. C'est habituellement la "haine" envers quelqu'un ou une situation qui va me "ronger l'intérieur" et qui va  amener les cellules à s'autodétruire. Cette haine est prodondément enfouie à l'intérieur de mon être et je n'ai pas souvent conscioence qu'elle existe. Elle est enfouie derrière mon masque de "bonne personne". Mon corps se désagrège lentement car mon âme se désagrège aussi : j'ai besoin de combler mes désirs non staisfaits au lieu de ne faire plaisir qu'aux autres. Je dois m'offrir des joies, des "petites douceurs". J'ai accumulé ressentiments, conflits intérieurs, culpabilité, auto rejet par rapport à moi-même parce que j'ai toujours agi en fonction des autres et non pas en fonction de ce que je veux. La patience exemplaire et présente chez moi s'accompagne très souvent d'une faible estime de moi. J'évite de me donner de l'amour et de l'estime, car je crois que je ne le mérite pas. Ma volonté de vivre devient presque nulle. Je me sens inutile. "A quoi bon vivre?" C'est ma façon d'en finir avec la vie. Je m'autodétruis et c'est là un suicide déguisé. J'ai l'impression d'avoir "raté" ma vie que je vois comme un échec. La mort peut me sembler, même inconsciemment, plus belle que la vie que je mène. J'ai besoin de faire tomber mon masque. Cela peut être angoissant pour un moment mais cela est essentiel afin de reprendre la maîtrise de ma vie. Je vais découvrir que j'ai tout le courage et toute la force nécessaires pour accomplir tous mes rêves. La partie du corps atteint m'éclaire quant à la nature de mon (mes) problèmes(s) : cela m'indique quels shémas mentaux ou quelles attitudes je dois adopter afin d'amener la maladie à disparaître. Je dois reprendre contact avec mon "moi" intérieur et m'accepter dans mon  tel que je suis avec mes qualités, mes défauts, mes forces et mes failesses. J'accepte dans mon  de laisser tomber de vieilles attitudes et habitudes morales. L'acceptation dans mon 
    de la maladie est essentielle pour que je puisse ensuite "lutter". Si je refuse d'accepter dans mon  la maladie, comment puis-je la guérir?

    J'accepte dans mon  de reprendre contact avec cette partie de moi dont je m'étais coupé afin de reprendre contact aussi avec la vie. J'ouvre mon  et je prends conscience de tout ce que la vie peut m'apporter et à quel point j'en fais partie. Même si le cancer semble à priori avoir le rôle du méchant, de l'adversaire, je me rends compte qu'il est un catalyseur afin que j'apporte des changements importants dans ma vie. Le fait de recevoir un traitement en guérison naturelle, en massage ou toute autre technique avec laquelle je me sens à l'aise, aura pour effet une harmonisation qui me permettra d'ouvre ma conscience à toutes les merveilles de la vie et à la beauté qui m'entourent et qui renforcera ainsi mon système immuniataire. J'accepte dans mon   d'apprivoiser les différentes émotions qui m'habitent. Je reprends la maîtrise de ma vie. Il n'y a que moi qui sache ce qui est bon pour moi ! Il n'y a que moi qui puisse décider de guérir ... J'accepte dans mon  de vivre dans le moment présent, en acceptant tout mon passé comme une période d'apprentissage afin de me découvrir, de savoir qui je suis vraiment. En laissant couler la vie en moi, mes cellules seront bien nourries et remplaceront celles dont je n'ai plus besoin. 

     

     


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  • Verrue Plantaire.

    Une verrue plantaire se remarque habituellement par l'apparition sous le pied d'une petite particule translucide autour de laquelle se forme une callosité qui, sous pression, provoque de la douleur.

    Une verrue au pied m'indique que je vis des craintes face à mon avenir et face à mes responsabilités. C'est une façon de crier à l'aide. La douleur qu'elle provoque veut me faire comprendre que je ressens de la colère dans ma manière de concevoir la vie. Qu'elle est la direction dans laquelle je dois aller même si cela me fait mal ou me frustre ? Il est probable que je me laisse facilement arrêter par les petites embûches qui se posent devant moi et que je donne la priorité aux besoin des autres avant les miens. Il se peut aussi que je vive une dévalorisation par rapport à mes capacités ou habiletés physiques dans les sports. Je peux être un très bon sportif au-dessus de la moyenne et vivre de la dévalorisation parce que je m'oblige à toujours être le meilleur ou à toujours être aussi performant en toutes circonstances. Je peux avoir l'impression que "mes pieds ne font pas aussi bien que les pieds des autres". J'ai aussi l'impression "de jouer au hockey comme un pied", ce qui veut dire que je me compare aux autres et que je me sens très inférieur par raport à leurs capacités physiques. Je joue un rôle pour me faire accepter dans le ♥ des autres. J'accumule les frustrations. Je me sens vulnérable et je m'appuie, tout comme mes pieds, sur des personnes ou choses extérieurs à moi.

    Mon corps me dit qu'il est inutile de me faire autant de mal et que je peux avancer dans la vie en toute confiance. Je dois autant accepter dans mon ♥ mes forces que mes faiblesses et, en persévérant, je pourrai réussir moi aussi.


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    Hémorroïdes.

     

    Les hémorroïdes sont des varices, des dilatations élargies des veines, une sorte d'ampoules. Elles sont situées dans la région de l'anus et du rectum.

    Lorsqu'il y a de la douleur, c'est lié à du stress , lorsqu'il y a des saignements, c'est lié à une perte de joie. Souvent, les hémorroïdes apparaisent lorsque je vis une difficulté face à ma mère : ce peut être un deuil non fait ou le désir de ne pas la voir partir. Je peux avoir un grand besoin d'elle, de son opinion et de nouvelles conditions me font me sentir abandonnée par elle. Les hémorroïdes m'indiquent une tension et un désir intérieur de forcer l'élimination, comme si j'essayais de faire sortir quelque chose très fortement et, l'action de retenir se manifeste en même temps. Le conflit entre pousser et retenir crée un déséquilibre. Les veines laissent supposer une situation indiquant un conflit émotionnel de l'action de rejeter et de repousser avec l'action de vouloir retenir et de bloquer l'émotion à l'inéterieur de soi. Par exemple, ce conflit peut surgir chez les enfants qui se sentent émotionnellement abusés par leurs parents (qu'ils veulent rejeter) et qui, malgré tout, les aiment et veulent qu'ils restent avec eux, en les retenant. Il y a donc un certain conflit intérieur entre le sentiment de perte et mes notions face à l'amour. Je remets en question mon identité et mes affiliations face à ma famille, spécialement mon père, mon travail, la société en général. J'ai l'impression de n'être qu'un "énième" (sans rang déterminé) quand je sais, tout au fond de moi, que je suis un être merveilleux avec une place unique dans l'univers. Est-ce que je veux vivre dans l'anonymat pour un certain temps ? Est-ce que je me sens comme un imposteur ? Voudrais-je me substituer à quelqu'un d'autre, prendre sa place ? Ou, au contraire, je peux vouloir trop m'attacher à ma famille de sang, particulèrement ma mère. Je ne sais pas comment transiger avec les critiques qui sont dirigées vers moi, surtout celles qui viennent de mon partenaire. D'autres causes sont liées aux hémorroïdes : un sentiment intense de culpabilité ou une vieille tension mal ou non exprimée, que je préfère souvent garder pour moi et que je vis face à une personne ou une situation qui "me fond le derrière*". Le corps me donne un signal d'alarme. Quelque chose dans ma vie a besoin d'être "éclairé", car je suis très dérangé. Quelque chose demande à faire éruption, comme un volcan. Je vis surement du stress, une surcharge de pression dont je me sens coupable. J'ai peut être des échéances à respecter et j'ai beaucoup de difficultés à lâcher prise, à faire confiance et je peux me sentir obligé de remplir mes obligations et mes responsabilités même si ce que je veux est de parler et d'exprimer mes besoins afin de rectifier ou d'ajuster certaines situations. Ai-je l'impression que je suis en contrôle ou dois-je me soumettre ? Je dois me forcer dans une situation qui me déplait et je ne peux pas m'en dégager. Il y a une contrainte et du ressentiment dont j'aurais avantage à me libérer. Je ne vis qu'à moitié et je voudrais m'enfuir de la maison. La pression sociale est immense ! En plus, je porte ce fardeau seule, car l'orgueil que je vis m'incitera à ne pas demander d'aide de qui que ce soit. Il se peut aussi que je vive un sentiment de soumission par rapport à une personne ou à une situation où je me sens diminué, comme si j'était un "trou d'cul". Je n'arrive pas à prendre ma place en montrant ma sensibilité et ma créativité et je la cède à quelqu'un d'autre. Je vis beaucoup dans la complaisance **, car, même si je cherche mon identité et à être différent, je veux aussi que les autre m'aiment.

    Quand je trouve la cause métaphysique de mon malaise, j'en prends conscience et j'accepte dans mon ♥ cette situation temporaire qui m'aidera à trouver de l'aide pour me dégager. Mes pensées et mes actions sont soutenues par l'amour. Tout s'harmonise en moi et les hémorroïdes disparaissent. J'accepte dans mon ♥ de lâcher prise et je prends le risque d'exprimer ce qui me dérange. Je reprends ma vie en mains et je laisse partir ces émotions négatives qui me nourrissent. J'établis de nouvelles assises dans lesquelles je me sens bien et libre. Ce sentiment d'impuissance disparaît et je reprends la pleine maitrise de ma destinée.

      

    * Me fend le derrière : qui me dérange au plus haut point et face à laquelle je vis de la colère.

    ** Complaisance : tendance à toujours acquiescer aux demandes des auters pour plaire.


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    Le vertige. (Etourdissements).

    Le vertige est un trouble cérébral, une erreur de sensation sous l'influence de laquelle je crois que ma propre personne ou les objets environnants sont animés d'un mouvement giratoire ou oscillatoire (vertige rotatoire).

    Avoir des vertiges ou des étourdissements est une façon de fuir un événement ou une personne que je refuse de voir ou d'entendre ; même si je ne suis pas satisfait, je reste dans ce shéma de pensées. Je refuse d'obéir à l'autorité extérieur ou intérieure, à ma voix intérieure. Je peux avoir l'impression qu'une situation évolue trop vite pour moi et j'ai peur des changements qu'elle apportera dans ma vie. Est-ce que je peux être toujours à la hauteur ? Une nouvelle tâche ou une nouvelle position, que je perçois comme beaucoup plus exigeante, peut me causer un "vertige psychologique" et se tranformer en vertige physique. J'ai peur de ne pas pouvoir suivre. Tout est en mouvement, "ça va trop vite ! ". Je suis en train de perdre mon espace vital, je me sens compressé, c'est comme si je n'avais pas de repère pour me diriger et donc, je peux avoir l'impression que "mon père", ou celui qui représente l'autorité, est absent ou qu'il devrait m'aider d'avantage par rapport aux directions à prendre. J'ai alors peur de l'avenir, je ne sais trop quelle direction prendre et je me retrouve face à moi-même, dans le néant. Cela me "donne le vertige". J'ai de la difficulté à me positionner. Je préfère me fermer, je fuis. Je voudrais tout contrôler, autant ce qui se passe à l'intérieur qu'à l'extérieur de moi, mais, cela étant impossible, je deviens instable et anxieux. Dans la plupart des cas, quand je souffre de vertiges et d'étourdissements, je peux souffrir d'hypoglycémie. Il y a des forces sur lesquelles je n'ai aucun contrôle et cela me dérange. Je recherche constamment la vérité. Je suis affecté par un mensonge qui concerne ma lignée généalogique et j'ai l'impression que quelque chose "cloche" même si je ne sais pas quoi. Je ne suis pas en contact avec la terre, je ne "touche pas terre". Je tourne en rond et ne vois pas l'issue. Il y  a aussi des choses que je ne supporte pas d'entendre. Je vis dans mes pensées, dans la rêverie. Je vis un malaise ou un questionnement profond face à la position que j'occupe dans ma famille ou dans la société. Quel est mon positionnement et suis-je à l'aise avec celui-ci? Mes vertiges mettent en lumière le déséquilibre intérieur que je vis, souvent entre ma partie féminine et masculine. Il peut aussi être apparu à la suite d'un choc émotif : le départ de quelqu'un que j'aime, par exemple, et dont j'ai minimisé l'impact, préférant faire la sourde oreille. J'ai l'impression de pouvoir ainsi contrôler ma vie, mais je ne garde qu'un équilibre extérieur très fragile et qui est illusion.

    J'accepte dans mon ♥ de découvrir la joie de vivre, de m'offrir des petites douceurs et de faire confiance à l'avenir. Ceci me permet de retrouver un sentiment d'équilibre intérieur, essentiel à ma guérison.

     


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